L’intelligence artificielle au service des maladies mentales
Écoutez l'interview de Maxime Amblard
Maxime Amblard
Tandis que la crise sanitaire ne fait qu’accentuer les difficultés dans la prise en charge des troubles psychiatriques, les sciences du numérique ouvrent de nouvelles voies dans le traitement et le suivi de ces pathologies.
Comme nous l’explique Maxime Amblard, l’intelligence artificielle (IA) peut être utile dans le suivi de certaines maladies mentales comme la schizophrénie, à la fois dans le cadre d’un diagnostic précoce, pour une meilleure détection et prise en charge du patient en amont, mais aussi en aval pour gérer les crises liées à la pathologie. Le chercheur, spécialisé dans le traitement automatique des langues (TAL) — un domaine pluridisciplinaire impliquant la linguistique, l’informatique et l’intelligence artificielle — nous présente, à travers deux projets de recherche dans lesquels il est impliqué, MePheSTO et ODIM, les moyens par lesquels l’IA peut contribuer au suivi des maladies mentales.
Newsletter
Le responsable de ce traitement est Inria. En saisissant votre adresse mail, vous consentez à recevoir chaque mois une sélection d'articles et à ce que vos données soient collectées et stockées comme décrit dans notre politique de confidentialité
Niveau de lecture
Aidez-nous à évaluer le niveau de lecture de ce document.
Votre choix a été pris en compte. Merci d'avoir estimé le niveau de ce document !
Maxime Amblard
Maître de conférences à l'Université de Lorraine, chercheur en traitement automatique des langues au Loria, dans l'équipe Inria Sémagramme.
Joanna Jongwane
Rédactrice en chef d'Interstices, Direction de la communication d'Inria