Qui sommes-nous ?
Interstices est une revue de culture scientifique en ligne, créée par des scientifiques pour vous inviter à explorer les sciences du numérique.
Interstices est publiée par Inria, institut national de recherche en sciences et technologies du numérique, elle a été lancée en 2004 à son initiative. Le suivi scientifique de la revue est assuré par le comité éditorial, qui rassemble des personnes d’Inria, du CNRS, de plusieurs universités ainsi que des associations professionnelles du domaine, notamment la SIF et la SMAI.
Le directeur de la publication est le Président-directeur général d’Inria.
Le numéro ISSN 2270-6224 a été attribué à Interstices.
Voir les mentions légales.
Envie d’en savoir plus sur l’histoire d’Interstices ? Consultez cet article de présentation.
Les choix rédactionnels de la revue Interstices sont faits par le comité éditorial composé de scientifiques du domaine de l’informatique et des sciences du numérique ainsi que de professionnels de la médiation scientifique. En son sein, un comité exécutif gère la revue au quotidien, prépare et met en œuvre les décisions.
Comité exécutif
- Valérie François, documentaliste – Inria Direction de la culture et de l’information scientifiques
- Joanna Jongwane, rédactrice en chef d’Interstices – Inria Direction de la communication
- Christine Leininger, cheffe de projet médiation scientifique – Inria Direction de la culture et de l’information scientifiques
- Nathalie Revol, responsable scientifique d’Interstices, chargée de recherche Inria à Lyon, chercheuse en arithmétique des ordinateurs
- Antoine Rollet, responsable scientifique adjoint d’Interstices, maître de conférences à l’INP Bordeaux, chercheur en méthodes formelles pour la vérification et le test logiciel
Comité éditorial
- Sylvie Alayrangues, maîtresse de conférences à l’Université de Poitiers, présidente du conseil scientifique de la Fondation Blaise Pascal (FBP), chercheuse en informatique graphique
- Maxime Amblard, maître de conférences à l’Université de Lorraine, chercheur en traitement automatique des langues au Loria
- Amine Boumaza, maître de conférences à l’Université de Lorraine, chercheur en intelligence artificielle et apprentissage
- Marie Duflot-Kremer, maîtresse de conférences en informatique à l’Université de Lorraine, vice-présidente médiation de la Société Informatique de France (SIF), chercheuse en vérification formelle
- Régis Duvigneau, directeur de recherche Inria à Sophia Antipolis, chercheur en simulation numérique et optimisation appliquées à l’aérodynamique
- Jocelyne Erhel, directrice de recherche Inria émérite à Rennes, chercheuse en modélisation et simulation pour les sciences de l’environnement
- Bruno Grenet, maître de conférences à l’Université Grenoble-Alpes, chercheur en calcul formel et complexité algébrique
- Yvan Le Borgne, chargé de recherche CNRS au LaBRI, Université de Bordeaux et INP Bordeaux, chercheur en combinatoire
- Thomas Lenne, professeur de mathématiques en lycée à Montargis, et enseignant en NSI (Numérique et Sciences Informatiques).
- Pierre Peterlongo, directeur de recherche Inria à Rennes, chercheur en bio-informatique
- Laurence Rideau, chargée de recherche Inria à Sophia Antipolis, chercheuse en vérification formelle de résultats mathématiques et d’algorithmes
- Olivier Ridoux, professeur à l’Université de Rennes 1, chercheur en programmation et langages
- Isabelle Sivignon, chargée de recherche CNRS à Grenoble, chercheuse en géométrie pour l’image.
- Laurent Théry, chargé de recherche Inria à Sophia Antipolis, chercheur en vérification formelle de résultats mathématiques et d’algorithmes.
- Suzanne Touzeau, chargée de recherche INRAE & Inria à Sophia Antipolis, chercheuse en dynamique des populations.
Anciens membres du comité éditorial : Anne Canteaut (de 2003 à 2004), Marie-Ange Hassoun (en 2005), Jean-Paul Zolésio (en 2005), Isabelle Scheurer (de 2003 à 2007), Isabelle Puaut (de 2005 à 2007), Pierre-Henri Bonnet (en 2007), Philippe Lombard (de 2008 à 2009), Isabelle Maugis (de 2006 à 2009), Hamdi Ben Abdallah (de 2008 à 2010), Laurent Viennot (de 2005 à 2010), Nathalie Catrain (de 2008 à 2011), Vincent Chevrier (de 2003 à 2011), Pierre Hellier (de 2008 à 2011), Sophie Roche (de 2007 à 2012), Bernard Hidoine, fondateur d’Interstices (de 2003 à 2012), François Rechenmann (de 2004 à 2013, animateur scientifique de 2007 à 2012), Sylviane Gentil (de 2010 à 2014), Sylvie Boldo (de 2008 à 2015), Christian Jutten (de 2005 à 2015), Pascal Guitton (de 2007 à 2015), Christine Froidevaux (de 2014 à 2015), Jean-Pierre Cocquerez (de 2012 à 2016), Éric Sopena (de 2012 à 2016), Thierry Viéville (de 2003 à 2016, animateur scientifique de 2003 à 2007), Jean-Paul Delahaye, Jean-Pierre Archambault, Abdellatif Kbida (de 2014 à 2015), Manuel Bricard (de 2014 à 2017), Violaine Louvet (de 2016 à 2017), Martin Quinson (de 2016 à 2017), Ariane Beauvillard (de 2016 à 2017), Véronique Poirel (de 2012 à 2017), Jean-Paul Haton (de 2004 à 2017), Antoine Liutkus (de 2016 à 2017), Antoine Levitt (de 2016 à 2017), Antoine Rousseau (de 2014 à 2017), Marie-Christine Rousset (de 2004 à 2019), Marie-Odile Cordier (de 2012 à 2019), Tamara Rezk (de 2016 à 2019), Florent Masseglia, Jacques Sainte-Marie (de 2018 à 2019), Laure
Fabrice Rouillier (de 2017 à 2020), Eric Marchand (de 2018 à 2021), Philippe Langlois (de 2016 à 2021), Géraldine Pichot (de 2019 à 2022), Jérôme Lang (de 2022 à 2023).L’idée de départ
Il y a quelques années, une quinzaine de chercheurs, enseignants et ingénieurs travaillant au sein des équipes Inria se sont rassemblés pour réfléchir à l’élaboration de documents didactiques en informatique et mathématiques appliquées, dans le but de les publier sur le Web. Une première maquette a été créée sous le titre « Didacticiel », avec Gilles Dowek.
Le projet « Rencontres avec les STIC »
En 2001, avec la création de la Direction de l’information scientifique et de la communication de l’Inria, sous la responsabilité de Jean-Pierre Verjus, cette initiative a pris la forme d’un projet (directeur de projet : Carole Silvy, chef de projet et concept initial du site : Dominique Chouchan, identité visuelle et logo : Nicolas Taffin, conseil en ergonomie : Rémy Taillefer, mise en place informatique : Philippe Poulard, assisté de Tahia Benhaj-Abdellatif).
C’est alors que le nom Interstices a été choisi. À cette occasion, Hervé Le Tellier nous a écrit un texte.
Cette phase de travail, sous forme de projet, s’est terminée en septembre 2003.
La mise en place d’Interstices
En octobre 2003, un comité éditorial a été constitué pour mettre en place et gérer le site Interstices. Autour de Bernard Hidoine, directeur de production, et Thierry Viéville, ce comité réunissait Lisette Calderan, Anne Canteaut, Vincent Chevrier, Jean-Paul Haton, Christine Leininger, François Rechenmann, Olivier Ridoux, Marie-Christine Rousset et Isabelle Scheurer.
Une expertise informatique, menée par Colas Nahaboo, a conduit à s’orienter vers un système de gestion de contenu (CMS) existant. Le logiciel retenu a été Jalios JCMS. Tahia Benhaj-Abdellatif a assuré l’installation de ce logiciel.
À la suite d’une première évaluation, et sur les conseils d’André Bisseret, l’architecture et l’ergonomie du site ont été légèrement modifiées. Les contenus existants ou en cours de production ont été revus par le comité éditorial et de nouveaux contenus ont été intégrés.
Le site Interstices a ouvert le 1er avril 2004, sous l’égide de Jean-Pierre Verjus, Directeur de l’information scientifique et de la communication de l’Inria.
La vie d’Interstices
lnterstices a été lancé officiellement en octobre 2004, à l’occasion de la Fête de la Science.
Président-directeur général de l’Inria, Gilles Kahn en a été le premier directeur de la publication. Gilles Kahn a joué un grand rôle dans le développement du site Interstices, auquel il a apporté ses conseils, son soutien, et sa relecture précieuse.
Michel Cosnard, Président-directeur général d’Inria de 2006 à 2014, lui a succédé comme directeur de la publication. Durant cette période, il a encouragé le développement et les évolutions d’Interstices.
Curieuse de sciences, Isabelle Scheurer a participé activement au comité éditorial d’Interstices dès sa création, aidant les chercheurs à diffuser et populariser la science au quotidien. Nous garderons en mémoire son rire, sa gentillesse et son professionnalisme.
Bernard Hidoine, désormais retraité, a largement contribué à l’émergence et au développement de la revue en ligne Interstices.
Évolutions ergonomiques et graphiques
Pour le 5e anniversaire d’Interstices, le comité éditorial a entrepris la refonte graphique de la plateforme Web, effective en octobre 2009. La nouvelle identité visuelle conçue par Nicolas Taffin a été intégrée au CMS par Bruno Courtiau de la société Jalios.
Pour les 10 ans d’Interstices, une refonte a été réalisée entre juin et novembre 2014, par la société Jalios (chef de projet : Xuan-Tuong Le, design graphique : Samuel Barbosa).
En 2016, une nouvelle refonte a été lancée, pour passer au CMS WordPress (avec la société Kaliop).
Pour contribuer à Interstices
N’hésitez pas à nous contacter en ligne.
Vous êtes chercheur/chercheuse dans le domaine des sciences du numérique, de l’informatique, des mathématiques appliquées et vous souhaitez contribuer à Interstices ?
Avant de vous lancer dans la rédaction, voici quelques règles essentielles au bon déroulement de notre collaboration.
- Il est important de noter que tout document, avant sa publication, est relu, corrigé, modifié voire remodelé par le comité éditorial, dans le but de faciliter sa lecture et sa compréhension par un public le plus large possible. En cela, Interstices se distingue d’un site de dépôt.
- Chaque sujet proposé fait l’objet d’une étude attentive du comité éditorial. Lorsqu’il ne correspond pas à la ligne éditoriale d’Interstices, il est susceptible d’être refusé. Nous vous aidons alors à redéfinir le sujet en amont, pour vous permettre de mieux cerner le contenu du document à rédiger.
- Le processus menant à la publication d’un document est découpé en plusieurs étapes, d’où des délais de publication assez longs. La phase de relecture des documents par des membres (scientifiques ou non scientifiques) du comité éditorial occasionne souvent de nombreux allers-retours entre l’auteur et Interstices. Nous faisons néanmoins tout notre possible pour faire aboutir chaque proposition dans les meilleurs délais.
Présentation d’Interstices
Interstices est une revue de culture scientifique en ligne qui s’adresse à un large public curieux des sciences du numérique, de l’informatique et des mathématiques appliquées.
Notre volonté est d’offrir un espace de rencontre non-institutionnel à un public désireux de découvrir le contenu et les applications des activités scientifiques du domaine des sciences du numérique. Comment ?
Concrètement, il s’agit de créer un corpus de « savoirs en ligne », un ensemble de documents culturels et didactiques. Recueillir et présenter des descriptions de la recherche effectuée en sciences du numérique, donc par la communauté scientifique en informatique, en automatique et en mathématiques appliquées, pour les mettre à disposition d’un large public non-spécialiste. Rendre accessible la matière scientifique produite dans le domaine, mais aussi en vulgariser les bases, les concepts, les principes.
L’objectif de la revue est « culturel » avant tout. Mettre les connaissances produites à la portée du « grand public » fait partie des « missions » des chercheurs, des chercheuses et des instituts de recherche. Il ne s’agit ni d’être exhaustif, ni de se susbtituer à la présentation institutionnelle, mais d’être représentatif du travail scientifique dans ces domaines.
Notre priorité n’est pas de susciter des vocations, ni de fournir des contenus pédagogiques, ni d’être un outil de communication interne pour les institutions du domaine. Cependant, disponible librement et gratuitement sur le Web, la revue Interstices peut constituer une base de ressources accessible aux personnels (chercheurs, administratifs…) des centres de recherche Inria comme des laboratoires du CNRS et des universités, ainsi qu’aux élèves et enseignants.
Public cible
Francophone. Les curieux de science.
Vous vous adressez à un public large et diversifié, tant en termes de formation initiale que de motivations. Ce public est sûrement curieux, cultivé, mais peut-être dépourvu de toute connaissance technique, mathématique, ou informatique. L’internaute peut en effet être de culture initiale scientifique, mais d’une autre discipline, ou bien de culture plus littéraire ou philosophique. Il est par exemple lecteur de magazines de vulgarisation comme Pour la Science, La Recherche, etc. Le pré-requis en termes de culture scientifique est d’un niveau de première scientifique. Les éléments mathématiques et les termes techniques employés dans les documents devront donc être simples et leur signification rappelée aux lecteurs (par exemple par des entrées de glossaire).
Le public lycéen n’est pas la cible prioritaire (mais certains articles lui sont plus spécifiquement destinés).
Méthode de travail
- Un sujet et du contenu : on recueille sur un sujet que nous suggérons ou que vous proposez un synopsis ou un texte de base (déjà existant partiellement), des éléments multimédias (images, vidéos, liens, notes diverses, etc). À partir de ces éléments, nous réfléchissons ensemble au document à réaliser.
- Réalisation du document : les moyens de réaliser un document sont à mettre en œuvre au cas par cas, avec un auteur scientifique (ou un journaliste), sous la forme d’un écrit, d’un film et/ou d’un programme de démonstration. Dans tous les cas, nous accompagnons la production, notamment pour éviter de découvrir sur un document fini de trop grandes distorsions par rapport à la ligne éditoriale et à nos attentes.
- Relecture : une fois réceptionné, votre document fait l’objet de relectures par le comité éditorial mais aussi un lecteur « cible » puis de modifications par le comité exécutif d’Interstices. Il est susceptible de modifications de forme (notamment pour tout ce qui concerne titres, intertitres et qualité de la vulgarisation), et de demandes de compléments de fond. Votre accord est bien sûr demandé après corrections sur l’ensemble (texte et illustrations), et avant mise en ligne.
Contenu
Lorsque vous rédigez votre article, gardez bien à l’esprit qu’un article de vulgarisation n’est ni un article scientifique au sens propre, ni une note de cours. Si les documents ont une visée pédagogique, ce n’est pas leur finalité et ils doivent avant tout susciter la curiosité et y répondre.
N’hésitez pas à parler du contenu de la science : de quoi s’agit-il au fond ? « comment ça marche » ? quels sont les principaux acquis ? quelles pistes actuelles de recherche ? Et aussi : à quoi ça sert ? quelles applications potentielles ? pourquoi s’intéresser à cette problématique ?, etc.
Ce document doit répondre aux principales questions qu’un internaute est susceptible de se poser sur la thématique abordée. Il peut se suffire à lui-même ou utiliser (sans excès) des liens vers d’autres documents du site. Par contre, l’usage des notes de bas de page pour les références est à éviter sur un site web.
Style
Pour vous faire une idée du style à adopter, consultez les documents déjà parus.
Lors de la phase d’écriture, mettez-vous à la place d’un lecteur « cible ». Il faut susciter son intérêt, l’inciter à aller plus loin. Le titre et l’accroche (premier paragraphe de 3-4 lignes après le titre) sont en ce sens déterminants et doivent donner envie à l’internaute de poursuivre sa lecture. Elles lui permettront d’avoir un aperçu synthétique du document. Notez que l’accroche (ou chapeau) n’est pas l’introduction de votre document et apparaît en amont du texte (en gras dans la page).
Dans la continuité, le début de votre document doit être très facile à lire, compréhensible par un lecteur non spécialiste. Évitez les schémas de présentation du type « dans cet article, nous verrons… » ou « nous allons aborder… » qui alourdissent le texte. Entrez directement dans le sujet !
Pour le corps du texte, privilégiez les phrases courtes (soyez concis), afin de faciliter la compréhension et la lecture. Prévoyez des paragraphes courts, qui seront précédés par des intertitres ou des « relances ». Partez plutôt d’un exemple précis, concret ou quotidien comme « accroche » (tout en évitant de trop référencer une actualité qui vieillira vite). La compréhension d’une problématique est parfois facilitée si on la replace dans son contexte historique et/ou scientifique, et/ou technologique…, surtout dans le cas de notions relativement abstraites. De même, n’hésitez pas à utiliser le langage des images (schémas, animés ou non…), parfois plus efficace.
La conclusion met un point final à la lecture mais ne doit pas pour autant être bâclée. Elle peut faire écho à l’introduction et donner une synthèse des idées traitées dans le document. Elle peut ouvrir sur des perspectives élargissant le sujet traité et ses enjeux, etc.
Veillez tout au long de la phase rédactionnelle à la clarté du contenu que vous proposez. Enfin, lorsque vous avez une version de texte que vous jugez finalisée, faites-la relire si possible à quelqu’un d’extérieur au sujet (un de vos collègues travaillant dans un autre domaine ou une personne de votre entourage par exemple).
Et n’oubliez pas que les membres du comité éditorial peuvent vous conseiller à tout moment.
Taille et format
En ce qui concerne la longueur des documents, nous avons deux formats donnés à titre indicatif :
- court : environ 5000 signes espaces compris (équivalent à 1,5 pages A4 sans illustrations)
- standard : environ 10 000 signes (équivalent à 3 pages A4)
La longueur des articles peut varier selon la nature du thème abordé. Partons de l’idée de faire moins de 10 000 signes (espaces compris). Dans le cas où votre document dépasserait les 20 000 signes, il conviendrait de réfléchir à un découpage en plusieurs documents. Certains sujets pourront faire l’objet d’une série d’articles complémentaires.
Les textes les plus simples à importer dans notre CMS (WordPress) sont ceux en Word (ou tout autre logiciel de traitement de texte), et en PDF mais d’autres formats sont envisageables (à discuter selon les cas).
Illustrations
Prévoyez si possible dès le début de la production du document des images fixes, animées, ou interactives : schémas, photos, quiz, animations html5, applets, vidéos… Nous pouvons vous aider à choisir et à réaliser tout type d’illustration. Dans le cas où vous avez des images, assurez-vous qu’elles sont libres de droits ou faites une demande d’utilisation auprès de leur propriétaire (dans certains cas, nous pouvons nous charger d’effectuer les demandes, prenez soin de noter les sources de vos images). Nous sommes tenus de veiller au respect des droits et copyright en vigueur concernant les images utilisées.
Encadrés
Pensez à renvoyer à des petits encadrés si nécessaire, pour préciser certains points sans alourdir le texte. Ces petits encadrés peuvent également servir à donner la définition de certains termes scientifiques utilisés, et alimenter le glossaire, ils peuvent aussi développer une notion particulière de façon didactique. Ils seront présentés en « accordéons » au fil du texte principal.
Références
Limitez le nombre de références bibliographiques, mais proposez des liens vers d’autres sites de préférence francophone (Wikipédia par ex.), articles de Pour la Science ou La Recherche, documents vidéos, etc. Vous pouvez référencer des documents de plusieurs niveaux (plus ou moins grand public), et différents types de supports (numérique ou papier). Une mise à jour des liens est possible après la publication.
Autant que faire se peut, faites référence aux quelques équipes ayant contribué de manière décisive au thème abordé, mais pas question de viser l’exhaustivité.
Auteurs
Tous les articles sont signés et datés. Vous pouvez choisir de faire figurer votre photo, ainsi que des liens vers votre page web, votre compte Twitter, votre page Facebook. Suivant les documents, il peut y avoir plusieurs types d’« auteurs » : le scientifique qui apporte un sujet ou du matériel, le scientifique (ou le journaliste selon les cas) qui écrit le texte ou réalise le document multimédia lui-même. Tous ces auteurs seront cités, mais évitez autant que possible d’allonger artificiellement la liste des auteurs scientifiques. Ne sont considérés comme auteurs que les personnes ayant participé activement à la conception et à la rédaction du document.
Licence Creative Commons
Les articles publiés sur Interstices à partir de janvier 2018 sont mis à disposition selon les termes de la licence
Creative Commons Attribution – Pas d’Utilisation Commerciale – Pas de Modification 4.0 International
sauf mention contraire explicite sur l’article.
Les articles plus anciens restent soumis au droit d’auteur, sauf mention contraire explicite.
Dépôt de la publication sur HAL
Nous recommandons aux auteurs et autrices de documents publiés sur Interstices de les déposer et de les référencer dans la catégorie « article de vulgarisation scientifique » de HAL-Inria, l’archive ouverte commune au CNRS, à l’Inria, etc.
Quelques chiffres
Nous avons près de 700 contributions en ligne.
Pour l’année 2023, les statistiques produites par l’outil d’analyse Matomo (ex-Piwik) sont de 361 670 visites et 553 870 pages vues. Nous avons plus de 5400 personnes abonnées sur X (ex-Twitter) et plus de 1400 sur Facebook.
Pour le mois de juin 2024, les statistiques produites par l’outil d’analyse Matomo (ex-Piwik) sont de 35 790 visites et 52 675 pages vues.
Analyse de statistiques
Interstices utilise le service de mesure de statistiques web Matomo (anciennement Piwik). Selon les modalités indiquées ci-dessous, vous pouvez choisir de participer ou non à cette analyse.
Nous contacter
Vous pouvez nous écrire à l’adresse postale suivante :
Interstices
à l’attention de Joanna Jongwane ou Christine Leininger (bât. 1B)
Inria
BP 105
78153 LE CHESNAY CEDEX